En France, 1 maison sur 2 serait située en zone argileuse à risque. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles (RGA) a coûté 2,9 milliards d’euros aux assureurs en 2022, et la sinistralité pourrait atteindre 2,1 milliards d’euros par an d’ici 2050. Pourtant, la majorité du parc immobilier français n’a pas été conçue pour résister à ces mouvements de sol, amplifiés par les sécheresses à répétition.