Le procès de l’effondrement du balcon d’Angers qui s’est ouvert le 9 février devrait permettre de faire toute la lumière sur le drame du 15 octobre 2016, à l’issue duquel 4 personnes avaient trouvé la mort et 14 autres avaient été blessées. Le rapport d’expertise sur lequel s’est appuyée l’instruction a d’ores et déjà souligné de nombreuses malfaçons dans la construction des balcons du bâtiment, notamment relatives aux armatures du béton.