Si les Français minimisent l’importance de ce facteur sur leur santé, l’enquête pointe également un problème structurel : la qualité de l’air intérieur (QAI) est encore trop peu comprise et trop peu partagée en interne. Pour les spécialistes, le suivi du CO₂, des particules et des COV est pourtant un minimum, à la fois pour protéger les équipes et maintenir leur productivité au quotidien.