Chaque année, des projets publics et privés connaissent des dépassements budgétaires de 20 à 30 %. De la Philharmonie de Paris aux lycées régionaux, ces exemples montrent que, faute d’obligation de recourir à un économiste de la construction, la maîtrise des coûts reste trop souvent aléatoire, avec un gaspillage potentiel des deniers publics. Derrière ces chiffres, un acteur pourrait pourtant changer la donne : l’économiste de la construction.