Le Parlement européen a voté, le 14 septembre dernier dans le cadre de la révision de la directive sur les énergies renouvelables (dite RED III), des dispositions sur la valorisation énergétique des bois récoltés en forêts qui, si elles devaient s’appliquer, constitueraient une aberration économique et écologique. Il est donc impératif que l’Etat français, dans le cadre du trilogue à venir sur la directive RED III, défende la
contribution réelle et indispensable du bois énergie.